L’Heure Des Vérités

Encore une tranche de ma vie qui est loin d’être monotone
Comme les s étaient revenus à la maison le train-train quotidien avait repris, travail toute la semaine, petit câlin discret le samedi soir. C’était un peu monotone, heureusement, j’avais Marie Christine avec qui je pouvais m’éclater complètement.
Une dizaine de jours plus tard, Géraldine a eu ses règles, j’étais soulagé un petit hic quand même, ma copine Marie Christine est partie en vacances avec ses s, je me retrouve presque seul face au traintrain quotidien.
C’est un lundi en fin de matinée que tout a changé, j’avais oublié le dossier d’un client a la maison, j’y suis donc retourné pour le prendre. Les s étaient à l’école, Géraldine était en train de faire le ménage dans la maison. Je ne sais pas ce qui m’a pris, elle était perchée sur un petit escarbot entrain d’épousseter la bibliothèque. Quand je l’ai vue, mon sang n’a fait qu’un tour, je me suis mis à bander. Pourtant, je l’avais vu très souvent faire le ménage mais là, je ne sais pas si c’est de voir sa petite culotte blanche sous sa jupette ou de savoir qu’on était seul dans la maison mais j’ai eu très envie de la prendre. Je me suis approché d’elle, j’ai tout de suite attrapé l’élastique de sa culotte pour la tirer vers le bas. Elle a crié
- arrête, je vais tomber
Sa culotte baissé au niveau de ses chevilles j’ai fait sortir mon chibre puis je suis monté derrière elle sur l’escarbot et je l’ai pénétré tout doucement. Une fois au plus profond de son ventre, de mes mains, j’ai attrapé sa poitrine et je me suis mis à la caresser. Elle a tourné la tête et m’a embrassé. C’était merveilleux, je ne sais pas si c’est à cause de sa culotte entre ses chevilles qui l’obligeait à garder les jambes serrées mais j’avais l’impression de posséder une vierge tellement j’étais à l’étroit en elle. Elle se tenait agrippé aux barreaux de son escarbot avec la peur de tomber et moi, je la besognais comme un forcené en lui malaxant la poitrine.

Quand elle a commencé à gémir de plaisir, j’ai explosé et je me suis entièrement vidé en elle, j’avais l’impression que je n’arrêterais pas de jouir tellement ça a été fort. Après avoir repris mon souffle, je lui ai remonté sa culotte pour empêcher le foutre dont elle était pleine de salir le sol, je lui ai fait un petit bisou, et après avoir remis de l’ordre dans ma toilette, je suis reparti au travail.
Le soir quand je suis rentré, j’ai eu droit à une vraie scène :
- Qu’est-ce qui t’a pris ce matin, ça ne va pas ou quoi ?
- Rien pourquoi ?
- Je ne suis pas ton jouet moi, je suis ta femme et je mérite un peu de respect
- Du respect mais j’en ai eu.
- Tu trouves, tu entre à la maison, tu me violes presque et tu repars, c’est ça que tu appelles le respect ?
- Non, j’ai juste eut envie et comme je sais que tu ne crains rien en ce moment.
- Tu n’es qu’un salaup, tu as pris ton plaisir sans penser à moi.
- Mais oui, j’ai pensé à toi, c’est pour ça que j’ai pris mon plaisir
- Idiot, ce n’est pas ce que je voulais dire, tu ne m’a pas fait jouir ce matin
- Je n’avais pas le temps, j’avais un dossier en cours.
- Tu n’avais pas le temps mai tu m’as baisé comme une chienne au risque de me faire tomber.
- Non, tu ne pouvais pas tomber, je te tenais sur ton perchoir ma colombe.
- Je ne comprends toujours pas ce qui t’a pris.
- Moi non plus mais c’était très agréable, il faudra recommencer.
- Tu parles pour toi, moi, je n’ai pas eu de plaisir, tu as jouis avant et en plus j’ai dû retourner me laver, et changer ma culotte tellement tu m’en avais mis. C’est à peine croyable. A toi le plaisir à moi les soucis.
- Mais non, ne le prends pas comme ça, j’ai eu une grosse envie en te voyant, c’est tout, c’est surement parce que je t’aime.
- Tu m’aime alors prouve le ce soir
- Et les s ?
- Ce n’est pas grave, on le fera en silence c’est tout.
- Je n’aime pas être , je ne sais pas si j’aurais envie ce soir, ce matin c’était particulier, il n’y avait personne.

- Tu fais comme tu veux, mais ce soir, ou tu me fais jouir ou j’arrête la pilule.
- La pilule ?
- Bien oui la pilule pour ne pas avoir d’autres gosses, qu’est-ce que tu crois
- Mai tu ne la prends pas, tu utilises de temps en temps un diaphragme.
- Dans tes rêves peut être, le diaphragme je l’ai mis une fois, ça me faisait mal alors je l’ai enlevé.
- Alors depuis notre mariage tu te fous de moi ?
- Non, je ne me fou pas de toi, mais j’aime te sentir anxieux, angoissé, j’aime quand tu te retires pour m’asperger le ventre ou les fesses, et j’aime que tu ne jouisses en moi que quand je te le demande ou que tu sais que je suis dans une bonne période.
- Et nos s alors ?
- La pilule, je la prenais depuis trois ou quatre ans avant de te connaitre, c’est le médecin qui me l’avait prescrite pour réguler mon cycle et rendre mes règles moins douloureuses. Pour ta fille, c’était un accident, un oubli de ma part, tu te souviens, tu m’as ramenée pompette chez moi, et bien j’ai oublié de la prendre alors j’ai fait ce que le médecin m’avait conseillé, arrêter complètement de la prendre pour attendre le cycle suivant. Entre temps, il s’est passé ce que tu sais. Pour ton fils, c’était prémédité, je voulais un autre alors je l’ai arrêté, c’est tout.
- Tu t’es foutue de moi tout le temps, même pendant nos vacances alors.
- Je ne me suis pas foutue de toi, j’ai juste un peu pimenté nos jeux c’est tout.
- Tu appelles ça pimenter nos jeux, tu es folle ou quoi ?
- Non, je ne suis pas folle, je l’ai lue dans un livre quand j’ai étudié la sexologie, l’excitation est beaucoup plus forte quand il y a un risque, quel que ce soit ce risque, c’est tout alors pour que tu sois plus excité, j’ai omis de te dire que je la prenais.
- Ah bon tu crois vraiment à ces conneries, et si je te prends la, tout de suite dans la cuisine avec les s à coté qui regardent la télé, tu seras plus excité, tu jouiras plus fort ?
- Oui, peut-être, je ne sais pas, on a jamais essayé.

Sans un mot, du pied j’ai poussé la porte puis je l’ai attrapé, elle s’est mollement débattue quand je l’ai embrassé en la soulevant pour la déposer sur la table. Elle a essayé de protester quand je lui ai retiré sa culotte mais je l’ai à se taire et je l’ai couché sur le dos. J’ai écarté ses jambes et j’ai plongé sur son minou, il dégoulinait déjà de désir. Après l’avoir un peu butiné, j’ai ouvert ma braguette et je suis entré en elle en tirant sur ses jambes pour la faire venir contre moi. Elle a gémi de plaisir sous cette pénétration violente puis je me suis activé. Je sentais ses muscles intimes se contracter par saccades au rythme de son orgasme, elle se mordait les lèvres pour ne pas crier sa jouissance. On entendait le son de la télé et le rire des s qui venait de la pièce d’à côté, j’ai accéléré ma possession et quand j’ai senti sa cyprine m’inonder le pantalon, je me suis enfoncé au plus profond d’elle pour me libérer. Après un petit moment, je lui ai demandé
- Alors, tu étais plus excité et tu as mieux jouis ?
- Oh oui, c’était merveilleux, j’ai eu un plaisir fantastique.
- Et tu crois que c’est parce que les s sont à coté et risquent de nous surprendre que tu as eu autant de plaisir ?
- Non, je ne sais pas, la peur d’être surprise a peut-être amplifié mon plaisir oui, enfin d’après les livres c’est surement ça il faudra recommencer, j’ai beaucoup aimé.
- Si tu veux, quand tu veux. Je suis à ta disposition. De savoir que je ne risque plus de t’engrosser m’ouvre des horizons nouveaux.

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